Turquie, nous y voilà. Le plan d'origine est de suivre la mer noire pour que ce soit moins vallonné que dans les montagnes. En fait non, ici, les montagnes plongent directement dans la mer et la route la plus proche de la mer est uniquement composée de cols. C'était comme ça jusque Sinop. Depuis, je ne rentre plus dans mon pantalon à cause des cuisses. La vue était incroyable et le soleil au rendez-vous, Heureusement! (Pour la suite, cliquer sur "Read More")
Côté méca, en Turquie, les gens sont vraiment prêt à nous aider. Premier soucis le premier jour après Istanbul, la remorque est un peu trop sautillante à notre goût... Résultat, timon cassé (c'est le bras d'attache de la remorque au trike). Et la remorque qui manque de faire un tonneau. Ouf, les panneaux photovoltaïques sont sauvés. On trouve un gars qui nous replie une barre d'acier au chalumeau pour remplacer la pièce en alu cassée.
C'est reparti pour un tour, enfin, c'est sans compter les fixations qui s'avèrent trop peu solides aux quelques routes cabossées qu'on a emprunté pour tester des "raccourcis". On en casse une au détour d'un chemin. Là, on rencontre un gars, appelé le "profesyonel" (c'est comme ça qu'on l'orthographie en Turc, pour une fois, je fais une faute d'orthographe délibérément!) Il nous casse la deuxième, merci! Heureusement, on en avait en rechange. Un peu plus loin on en a mis des plus solides dans un garage pour ne plus avoir de soucis de ce côté là.
Bref, de la remorque de base, il ne reste presque plus rien. J'avais construit la structure autour d'une base existante, la structure tient bien le coup, la base est morte. Conclusion : la prochaine fois, je fais tout moi même!
Avec tout ça, on est quand même repartis dans nos cols, on a visité des chouettes villes (Sinop, Zonguldak etc). On a aussi découvert un chantier naval artisanal pour des bateaux en bois. On a aussi assisté à un mariage typique, profité des plages de la mer noire et découvert des petits villages en s’arrêtant pour boire le thé. Avec les montées, nous n'avons croisé que peu de cyclistes téméraires dans la région. Seulement un cycliste Turc et un couple d'allemand. C'est plutôt avec des motards que nous avons partagés nos pauses.
Bref, de la remorque de base, il ne reste presque plus rien. J'avais construit la structure autour d'une base existante, la structure tient bien le coup, la base est morte. Conclusion : la prochaine fois, je fais tout moi même!
Avec tout ça, on est quand même repartis dans nos cols, on a visité des chouettes villes (Sinop, Zonguldak etc). On a aussi découvert un chantier naval artisanal pour des bateaux en bois. On a aussi assisté à un mariage typique, profité des plages de la mer noire et découvert des petits villages en s’arrêtant pour boire le thé. Avec les montées, nous n'avons croisé que peu de cyclistes téméraires dans la région. Seulement un cycliste Turc et un couple d'allemand. C'est plutôt avec des motards que nous avons partagés nos pauses.